Réchauffement climatique, quand la science est au service des arbres

Le réchauffement climatique n’est plus un mythe, c’est un fait réel dont l’humanité sera prédestinée. Et si aucune mesure n’est prise, quelques années suffiront pour que l’humanité toute entière soit menacée d’extinction. C’est dans cette optique que des chercheurs ont pris la peine de modifier une hormone végétale dans le but de rendre les plantes plus adaptées au réchauffement climatique. En quoi consiste cette plante modifiée ? Quels sont les avantages qu’elles offrent pour prévenir le réchauffement climatique ? Explication.

Modifiée l’hormone végétale pour prévenir le réchauffement climatique ?

Après avoir effectué des recherches et des études sur le fonctionnement de l’auxine, une hormone végétale qui régule plusieurs fonctions dans une plante, les chercheurs ont pu découvrir qu’en modifiant cette hormone il est possible d’avoir des plantes avec des racines plus longues, ce qui leur permettra à puiser de l’eau en profondeur et de mieux résister à la sécheresse. Ces racines peuvent également mieux protéger le sol face à l’inondation et l’érosion.

En plus de cela, cette modification a permis aussi d’améliorer l’absorption et le stockage de CO2. Ces plantes vont également enrichir le sol comme le fait le ver de terre. Force est de reconnaître que cette hormone est présente dans la majorité des plantes, même le riz, le soja ou encore le colza. Du coup, en modifiant ce gène, il est possible d’avoir une répercussion importante sur l’environnement à travers le monde.

Une étude qui vise à réduire le réchauffement climatique en absorbant plus de CO2

Tout le monde le sait, l’une des causes du réchauffement climatique est certainement la quantité énorme de CO2 émise dans l’atmosphère. Pour ce faire, l’absorption de ce gaz à effet de serre par les plantes de manière optimale permet entre autres d’optimiser cette fonction de capteur de CO2.

Dans le même cadre que cette étude, les chercheurs ont également effectué des investigations en ce qui concerne l’augmentation de la durée d’emprisonnement de CO2 dans le sol lorsqu’une plante meurt. Pour ce faire, rien de tel que d’améliorer la résistance de la subérine, cette substance cireuse permettra de renforcer le stockage des gaz à effet de serre au niveau du sol.

Nous avons pu découvrir que les recherches en matière de plantes dopées pour optimiser la limitation du réchauffement climatique continuent de faire parler d’elles. Ces modifications génétiques permettent non seulement d’améliorer la résistance et la durée de vie des plantes, mais surtout d’aider l’humanité à lutter contre le réchauffement climatique.

 

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